Je suis malaaaaade-euh (selon Jéricho)
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Je suis malaaaaade-euh (selon Jéricho)
Vous avez intérêt à le lire, parce que j’ai tapé ça avec le prof au dessus de mon épaule… Lettre par lettre, alors qu’il vagabondait dans les rangs. Donc, au boulot !
Août 1940, Pas de Calais (Pas d’bol hein, essayez plus tard…)
Hans est sorti fumer. Même pour un mois d’août, on s’les pèlent (Chay leu Nord !). Il sait que fumer de nuit n’est pas recommandé, qu’on pourrait repérer leur position, qu’un sniper pourrait facilement lui arracher le casque et la tête qui va avec. Mais Hans n’en a cure. Hans est une forte tête. Et Hans veut fumer un bon coup, puis s’enivrer de bière Allemande, et tirer une fois de plus la boulangère du bourg d’a coté.
Et Hans choisi de commencer par ce dernier désir. Oh bien sur, il doit quitter son poste de garde pour ça, mais après tout, l’Allemagne n’est-elle pas maîtresse de l’Europe ? Et serait-ce ces petits résistants, avec trois poils au museau, qui viendrait l’importuner ? Non, certainement pas… Hans est un homme, un soldat accompli. L’un des meilleurs titreurs de son unité. Et avec son kar98K, il peut abattre n’importe qui à 150 mètres. N’importe QUI. Alors qu’il marche depuis un ou deux kilomètres, un bruit dans les buissons. Hans a l’oreille fine, et l’œil perçant. Il fait mine de n’avoir rien entendu, mais écrase discrètement sa cigarette, et se met à marcher dans l’herbe, plutôt que de faire crisser ses bottes sur les cailloux du chemin… Un autre bruit, de branche brisée, plus proche cette fois. Hans se jette dans le plus proche couvert, et pointe son fusil dans la direction du bruit : un commando anglais, ou américain ? Un résistant ? Ou juste un animal ?
Le silence… Troublé juste par la respiration haletante de Hans. Tout désir pour la boulangère a disparu, désormais, il ne pense plus qu’a retrouvé la relative sécurité du camp. Alors qu’il se décide à rentrer, un coup de feu, puis deux, puis des hurlements, humains d’abord, puis… Bestiaux. Les coups claquent, secs. Hans entend les hurlements gutturaux de ses camarades, se noyant dans leur sang. Hans a déjà entendu des égorgés crier. Il connaît ce bruit caractéristique, cet espèce de gargouillement qui se mêle au cri. Un crissement. Il tourne la tête, mais trop tard. Obnubilé par l’agitation du camp, il ne l’a pas entendu arriver. Il ne voit qu’une masse sombre, venant de sauter sur lui. Une masse sombre, velue mais décharnée, accompagnée par les relents acres du sang et de la mort. Il a tout du chien, mais quand le briquet enflamme la fourrure de la chose, Hans s’aperçoit que la chose tient plus du cadavre que de la bête. Prit de panique, il s’enfuit à toutes jambes, alors que la nuit n’est troublée que par les râles d’agonie des mourants.
Hans se sait poursuivi, et Hans se cache, une fois arrivé au Bourg, dans une grange. Hans se barricade, et passe ainsi une nuit des plus inconfortables, couché contre son fusil. Au matin, Hans n’est plus Hans. Comme tous les habitants du village, Hans a été mordu. Et Hans erre à présent, affamé, à la recherche d’une proie…
Avril 2008, Vourljikistan.
Une équipe de Crevard évolue en terrain jugé hostile. Des rapports attestent de la disparition de plusieurs habitants d’un village, situé à la frontière.
Tout d’un coup, un crissement dans un buisson…
*HRP* Scénario de type Infection : Un contaminé pour 4 à 5 humains au minimum.
Un tir de contaminé contamine automatiquement un humain. Un tir humain élimine un contaminé.
Donc, les contaminés contaminent les humains, les humains tuent les contaminés, la femme hérite du Vourljikistan. Les contaminés s’embusquent, les humains patrouillent, en groupe ou en paquet (TAKAAKKAKAKAKAKA !) */HRP*
Août 1940, Pas de Calais (Pas d’bol hein, essayez plus tard…)
Hans est sorti fumer. Même pour un mois d’août, on s’les pèlent (Chay leu Nord !). Il sait que fumer de nuit n’est pas recommandé, qu’on pourrait repérer leur position, qu’un sniper pourrait facilement lui arracher le casque et la tête qui va avec. Mais Hans n’en a cure. Hans est une forte tête. Et Hans veut fumer un bon coup, puis s’enivrer de bière Allemande, et tirer une fois de plus la boulangère du bourg d’a coté.
Et Hans choisi de commencer par ce dernier désir. Oh bien sur, il doit quitter son poste de garde pour ça, mais après tout, l’Allemagne n’est-elle pas maîtresse de l’Europe ? Et serait-ce ces petits résistants, avec trois poils au museau, qui viendrait l’importuner ? Non, certainement pas… Hans est un homme, un soldat accompli. L’un des meilleurs titreurs de son unité. Et avec son kar98K, il peut abattre n’importe qui à 150 mètres. N’importe QUI. Alors qu’il marche depuis un ou deux kilomètres, un bruit dans les buissons. Hans a l’oreille fine, et l’œil perçant. Il fait mine de n’avoir rien entendu, mais écrase discrètement sa cigarette, et se met à marcher dans l’herbe, plutôt que de faire crisser ses bottes sur les cailloux du chemin… Un autre bruit, de branche brisée, plus proche cette fois. Hans se jette dans le plus proche couvert, et pointe son fusil dans la direction du bruit : un commando anglais, ou américain ? Un résistant ? Ou juste un animal ?
Le silence… Troublé juste par la respiration haletante de Hans. Tout désir pour la boulangère a disparu, désormais, il ne pense plus qu’a retrouvé la relative sécurité du camp. Alors qu’il se décide à rentrer, un coup de feu, puis deux, puis des hurlements, humains d’abord, puis… Bestiaux. Les coups claquent, secs. Hans entend les hurlements gutturaux de ses camarades, se noyant dans leur sang. Hans a déjà entendu des égorgés crier. Il connaît ce bruit caractéristique, cet espèce de gargouillement qui se mêle au cri. Un crissement. Il tourne la tête, mais trop tard. Obnubilé par l’agitation du camp, il ne l’a pas entendu arriver. Il ne voit qu’une masse sombre, venant de sauter sur lui. Une masse sombre, velue mais décharnée, accompagnée par les relents acres du sang et de la mort. Il a tout du chien, mais quand le briquet enflamme la fourrure de la chose, Hans s’aperçoit que la chose tient plus du cadavre que de la bête. Prit de panique, il s’enfuit à toutes jambes, alors que la nuit n’est troublée que par les râles d’agonie des mourants.
Hans se sait poursuivi, et Hans se cache, une fois arrivé au Bourg, dans une grange. Hans se barricade, et passe ainsi une nuit des plus inconfortables, couché contre son fusil. Au matin, Hans n’est plus Hans. Comme tous les habitants du village, Hans a été mordu. Et Hans erre à présent, affamé, à la recherche d’une proie…
Avril 2008, Vourljikistan.
Une équipe de Crevard évolue en terrain jugé hostile. Des rapports attestent de la disparition de plusieurs habitants d’un village, situé à la frontière.
Tout d’un coup, un crissement dans un buisson…
*HRP* Scénario de type Infection : Un contaminé pour 4 à 5 humains au minimum.
Un tir de contaminé contamine automatiquement un humain. Un tir humain élimine un contaminé.
Donc, les contaminés contaminent les humains, les humains tuent les contaminés, la femme hérite du Vourljikistan. Les contaminés s’embusquent, les humains patrouillent, en groupe ou en paquet (TAKAAKKAKAKAKAKA !) */HRP*
Invité- Invité
Re: Je suis malaaaaade-euh (selon Jéricho)
J'ai l'impression de retrouver des manuscrits de la Bibliothèque d'Alexandrie *larme à l'oeil*
T'es mon héros, mon pompier qui m'arrache des flammes, mon bouclier qui dévie la flèche, mon sex toy quand je suis tout seul.
T'es mon héros, mon pompier qui m'arrache des flammes, mon bouclier qui dévie la flèche, mon sex toy quand je suis tout seul.
jericho- Yack Hibernant
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